Combien en mer, combien noyés
Et tous ceux qui au retour vont faire naufrage –
Tous attendaient de te voir.
Seule la mort n’attend pas.
A ton passage , demandent à parler.
Ce que nous bâtimes s’effondrera.
Il semble que les vaincus sont devenus vainqueurs.
Le fleuve m’emplissait la bouche
Quand nous sommes revenus l’été
Mon Dieu, comme les tours ont changé de couleur !