L’écriture de l’histoire n’est guère un processus neutre; il implique des jugements de valeur et des preconceptions chères à l’historien. D’une manière paradoxale, ce qui a été trouvé par la recherche et ce qui n’est pas mentionné sont présents dans l’œuvre de l’historien. 
Une table ronde organisée par l’Associa¬tion hellénique des archivistes aborde le sujet: Le droit à l’oubli face au droit à la mémoire, lundi prochain, à l’Institut Français de Grèce, à 18 :00 (traduction simultanée).
INTERVENANTS : 
Jean-Philippe Legois, président de l’Association des archivistes français et de la Cité des mémoires étudiantes, responsable des Archives municipales de Sevran
Efi Avdela, professeur, université de Crète
Nikos Alivizatos, professeur, université d’Athènes 
Stratos Dordanas, lecteur, université de Macédoine
Vangelis Karamanolakis, lecteur, université d’Athènes, membre du conseil d’administration des Archives d’histoire sociale contemporaine
Zoé Karntasiadou, avocate, responsable du corps des contrôleurs de l’Autorité de la protection des données personnelles 
Amalia Pappa, présidente de l’Association hellénique des archivistes

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