Écrivain passionnant et original, personnage vivace, simple et plein de contradictions, un homme qui aimait la vie, l’humour, les voyages et les femmes n’est plus avec nous. On parle de Antonis Sourounis, une figure qu’on voyait souvent dans les bars d’Athènes parler et boire avec ses amis et qui a réussi à intégrer dans ses histoires des personnes et des situations contradictoires, passant des héros marginaux aux liaisons conventionnelles toujours avec une exactitude et une sincérité frappante. Certains affirment que l’on ne trouverait meilleure photographie de la société grecque contemporaine, que dans les romans d’Antonis Sourounis (1942-2016).
Sa vie, entre patrie et dépaysement
Traductions et publications à l’étranger
En français on peut trouver ses livres : « Pâques au village » (éd. Actes Sud) et « Les premiers meurent toujours les derniers » (éd. Hatier). Son livre « La Danse de Roses » est publié en Allemagne, en Israel, en Italie en en Turquie, tandis que « Les camarades de Jeu/ The fellow players » est publié aux États-Unis.
* Propos recueillis par Magdalini Varoucha
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